Ville du vin, et non du cidre, presque autant vendéenne que bretonne, mais solidement accrochée et retenue aux dernières pentes du Sillon de Bretagne, n'aventurant qu'un pied peureux vers les grèves déjà méridionales de la rive gauche, elle semble regarder les rivages de Saint-Sébastien et de Trentemoult comme les lisières d'un pays de Cocagne, pays où elle puise sa sève populaire, pays qui la séduit et qui l'attire, mais dont un fleuve difficile lui a mesuré chichement les accès.
vendredi 5 août 2011
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Waouhhh!!! très jolies vues de nantes que je ne connais pas bien, et de toi.
RépondreSupprimerJ'ai un petit faible pour la dernière photo ;)
J'ai moi aussi flashé sur la chaussure-bobines! Merci et bises.
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